Il y a donc des risques qui ont été démontré au XIX siècle comme pour la scintigraphie ; cela peut être dangereux pour ceux qui sont porteurs de prothèses, d’implants métalliques ou bien encore de pacemaker. En ce qui concerne l’échographie, c’est la pratique médicale la moins risquée, avec les ultrasons et un récepteur, elle transmet des informations qui sont alors traduites en images. Pour l’IRM, c’est la même chose au niveau des risques, il y en a peu. Enfin, les rayons X ; peuvent avoir une action sur l’ADN, donc ils sont risqués pour l’être humain. Ils sont utilisés dans le domaine de la médecine, de la sécurité au sein des aéroports notamment, mais aussi, plus récemment dans l’imagerie. Dans l’espace, nous avons individualisé de très nombreuses sources de rayon X. Avec le cas de la mammographie, un examen obligatoire pour les femmes de 50 ans à faire systématiquement tous les deux ans. Nous avons remarqué que cela pouvait, à long terme, être dangereux ou même amplifié un problème avec les rayons ionisants.